Si le record de températures a été battu avec un 36° à 18 heures sur le parking du magasin, j’ai battu quant à moi mon record de ventes.
Le responsable du magasin m’avait positionné auprès du rayon ésotérisme si bien que j’ai pu m’entretenir avec de nombreuses personnes autour des thèmes de mon roman : hypnose et réincarnation ; en précisant que La Méthode Gaboriau était un roman et non un livre de développement personnel qui les rendrait milliardaires. Quoique !
Il suffirait qu’un de mes lecteurs gagne au loto dans la semaine pour faire de moi un gourou. Ce que je leur souhaite. Quant à moi, j’ai encore quelques livres à vendre avant de devenir milliardaire.
A bientôt, au samedi 23 septembre pour une séance de dédicaces au Cultura d’Orléans.
Samedi 8 juillet, excellente séance de dédicace dans le plus grand Cultura de France à Bègles dans la banlieue bordelaise. La rencontre avec les lecteurs est toujours enrichissante à plus d’un titre. Nous avons discuté d’hypnose et de réincarnation et de la meilleure façon de devenir milliardaire : s’inspirer de « La Méthode Gaboriau » bien sûr.
Une personne m’a laissé sa carte d’hypnotiseuse au cas où je voudrais approfondir le sujet pour écrire un nouveau roman sur le même thème. Je ne dis pas non.
Une autre m’a annoncé sérieusement qu’elle ne pouvait pas acheter mon livre car elle ne savait pas lire. Je pense qu’elle s’est payé ma tête. Je suis toujours agréablement surpris du nombre de clients qui repartent des librairies avec de nombreux livres – quelque fois une dizaine – et heureux quand le mien fait partie de la pile. Un grand merci aux personnes qui m’ont consacré un peu de leur temps, quelque fois beaucoup, ainsi que les nombreuses qui m’ont accordé leur confiance en achetant mon roman.
Ma prochaine séance le 8 septembre au Cultura de Tours
Ça lui trottait dans la tête depuis longtemps. Très longtemps. Alors, l’heure de la retraite venue, l’ancien parfumeur Didier Bély – il a tenu boutique à Blois pendant 44 ans – a pris le temps d’écrire, enfin. « J’ai toujours eu beaucoup d’imagination, mais jamais le temps d’écrire. Je me suis rattrapé depuis », lance l’ancien commerçant, installé à Saint-Denis-sur-Loire. En juin, il a publié, à compte d’auteur, son premier roman, La méthode Gaboriau. Un an de travail au total autour d’une thématique un peu ésotérique. « On parle de réincarnation. Mais pas uniquement celle de l’âme. Et si elle s’accompagnait d’une réincarnation physique ? C’est l’hypothèse de départ », poursuit Didier Bély. S’astreindre à écrire tous les jours Le héros, Louis Gaboriau, est-il un modeste contremaître d’usine un peu simplet ou un chef d’entreprise multimilliardaire ? Allez savoir. Toujours est-il qu’après une séance d’hypnothérapie, il se persuade d’être la réincarnation du fondateur d’une multinationale décédé dont il possède désormais les gènes… Ce qui le met aux prises avec la fille même de cet homme quand il s’agit de capter l’héritage. L’histoire se déroule à Fontaine-sur-Loire – qui ressemble étrangement à Saint-Denis-sur-Loire – ainsi que dans l’ancienne usine Poulain, en centre-ville de Blois. Pour mettre en musique son histoire sur quelque 400 pages, qu’il portait depuis très longtemps en lui, Didier Bély use d’un « humour de situation » et de rebondissements. Le sexagénaire est déjà passé à autre chose, écrivant des nouvelles (« pour se faire remarquer » dans les concours) mais aussi son deuxième roman qui plongera le lecteur dans le Métavers, ce vaste monde virtuel et imaginaire où des avatars s’inventent d’autres vies que la leur. Pour l’heure, Didier Bély, féru de littérature américaine notamment, assure la promotion de La méthode Gaboriau, disponible sur nombre de sites de librairies en ligne. Et s’astreint chaque jour à l’écriture. « C’est ma passion. » « La méthode Gaboriau », Didier Bély, 23,90 €. Format numérique : 0,99 €. Contact : bely.didier@gmx.fr Tél. 07.61.68.21.21.
J’ai été intriguée par la réincarnation physique comme thème de votre roman et l’imposture que vous signalez dès son début. Et bien sûr, malgré toutes les hypothèses je n’ai pas pu découvrir le pourquoi du comment ! Avec tous ces rebondissements, j’imagine un scénario de film avec Albert Dupontel dans le rôle de Louis Gaboriau. Vous n’êtes pas le seul à avoir de l’imagination ! Merci pour cette lecture plaisante. Je vous souhaite beaucoup de réussite.
On ne doute pas une seconde que vous avez du talent pour écrire ! Mais que c’est compliqué de vous suivre sur votre route le long de votre fleuve. Le méthanol dans le vin, doigts, mains ou oreilles manquants… il faut un peu s’accrocher pour comprendre le lien avec la méthode… je me suis accroché, c’est loufoque, tendance burlesque, ça fait du bien !
Au cours d’une séance d’hypnothérapie, Louis Gaboriau visualise les événements d’une vie antérieure qu’il attribue au fondateur d’une multinationale décédé depuis une cinquantaine d’années.
Si la transmigration des âmes peut s’accompagner de quelques détails physiques, telles des marques de naissance ou des anomalies congénitales liées à une vie passée, que penser de la transmission complète du patrimoine génétique, car aussi incroyable que cela puisse paraître, Louis Gaboriau possède de nouveau les gènes de sa précédente vie.
Qui est donc le véritable Louis Gaboriau ? Un modeste contremaître d’usine qui peine à boucler ses fins de mois ou l’héritier de la fortune de sa fille ?
L’hypnothérapie de régression des vies antérieures à l’origine de cette improbable affaire va entraîner le couple Gaboriau dans un maelström d’où vont émerger un réfugié bosnien, une veuve et son héritière, un chaman amazonien, des pasteurs suisses, une figure transgenre, ainsi qu’une pathétique Cléopâtre, conseillère à Pôle Emploi.
Et la Méthode Gaboriau ? Une thérapie novatrice pour soigner les dysphories de genre, ou un procédé abracadabrant pour devenir milliardaire ?
Romancier ; à la différence des génies en herbe qui avaient déjà trouvé leur vocation avant de savoir lire, je dois avouer, à ma grande honte, n’être entré dans le giron de la littérature qu’à un âge fort tardif.
Ce n’est pas ma faute, monsieur le censeur, il m’a fallu assumer une vie professionnelle exigeante qui ne m’a jamais laissé le temps de me passionner pour le sujet. Le manque de temps comme excuse.
La littérature, non, mais les mots oui.
J’ai, aussi longtemps que je me souvienne, aimé les mots, les mots bizarres, les mots usés, ceux qui ressurgissent et ceux qui s’éteignent, les mots au passé trouble et ceux qui ne demandent qu’à jouer.
J’en ai trituré plus d’un pour des articles professionnels, des rédactionnels et des publications ; j’ai pratiqué « l’écriture sous contrainte Google » en tant que Web Content Writer ; des mots qui ont une valeur marchande.
Et alors ?
Je suis né en 1953, et donc… avantage de la retraite, vous pouvez matérialiser vos aspirations sans pression du planning, et pour moi, me plonger dans le bain de l’écriture de fiction.
C’est ainsi que j’ai écrit un premier roman basé sur le thème d’une pandémie conjurée par l’euthanasie de plusieurs centaines d’individus à l’origine d’une future contamination. À peine avais-je terminé mon « œuvre » qu’un coronavirus apparaissait, rendant mon sujet pour le moins décalé face à la réalité. Le roman réside dorénavant dans les limbes d’un cloud anonyme sans grand espoir d’en tomber.
Et alors ?
Un deuxième roman sur le thème de la réincarnation. Et si la transmigration d’une âme s’accompagnait de la transmission du patrimoine génétique ? Mon dernier bébé : La Méthode Gaboriau, dont j’attends les critiques.
À très bientôt,
Lecteurs, aimez-moi.
Didier Bély
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