
Ce 11 novembre, j’étais chez moi à Blois en centre-ville où j’ai exercé mon métier de parfumeur pendant plus de quarante ans ; ce qui m’a permis de rencontrer avec beaucoup de plaisir d’anciennes clientes et de « tailler la bavette » avec des personnes que je rencontre quand je cours (souvent) sur les bords de Loire.
Positionné devant les best-sellers de la rentrée, j’avais l’impression que La Méthode Gaboriau en faisait partie. Attention, Thomas Pesquet ou Maxime Chattam, me voilou !
Une anecdote qui ne met pas en valeur mon sens de l’observation que je devrais pourtant posséder si je veux postuler au statut de parfait écrivain. Je m’approche d’une dame d’un certain âge pour lui présenter mon roman. La dame semble intéressée, je lui tends le livre, elle l’ouvre et me dit : »Je n’y vois rien, je suis à moitié aveugle. », et d’un geste lève sa canne blanche, et moi je suis rouge.
C’est le métier qui rentre ! .
Le 16 décembre, je suis au Cultura d’Orléans pour une séance de dédicaces en duo avec une autrice de La Grande Vague. C’est un plaisir pour moi d’y retourner. J’espère que je pourrais rencontrer des personnes qui ont lu mon livre pour pouvoir connaître leurs commentaires. On a beau dire, les critiques nous font progresser, les bonnes sont quand même plus motivantes !